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L’extrait suivant comme l’ensemble de ceux présents sur ce site internet, a été traduit par l’équipe de Dark-Hunter Francophone en respectant au maximum le texte et la syntaxe de l'auteure.
Le texte n'est donc pas celui que vous pouvez lire dans les livres disponibles en français, qui ont soufferts pendant longtemps d’une très mauvaise traduction, dû à une politique éditoriale autorisant / obligeant les coupes et changements de texte, afin de coller au format et aux critères de la collection dans laquelle a été mise la série, et qui ne s'est arrêtée qu'en 2015.
Toutefois, en ce qui concerne ce livre, la traductrice a changée et le texte est plus proche de l'original.
Toutefois nous ne sommes pas traductrices professionnelles, le sens d'une phrase peut nous avoir échapper. Si vous trouvez une faute ou une phrase mal construite, n'hésitez pas à nous le signaler par e-mail.
Dark-Hunter #11 - Les chasseurs de rêves
Chapitre 5
Arik était fasciné par la texture poilue de la couverture sur le lit de Teddy. Elle était rugueuse et irritante. Pourquoi quelqu'un voudrait de ça près de sa peau ? Même la taie n'était pas ce qu'il avait pensé être. Dans les rêves, ces éléments était aussi doux que l'air et ils glissaient sur sa peau comme de l'eau chaude.
Mais ici... il frissonna.
C'était un monde étrange dans lequel vivait l'espèce humaine.
Pas étonnant qu'ils vivaient pour s'échapper dans les rêves.
Et il était fatigué d'être ici sans Megeara. Elle se révélait être encore plus difficile à atteindre en personne, qu'elle ne l'avait été auparavant. Il ne savait pas où elle était, mais il était temps qu'il l'a trouve.
Il avait tout juste atteint la porte qu'elle s'ouvrit si vite qu'il sentit la poussée de l'air contre sa peau.
Une chaleureuse douce émotion le traversa quand il vit Megeara. Du moins cela commença de cette façon jusqu'à ce qu'il note le regard colérique sur son visage.
"Quoi ?" Demanda t'il, se demandant pourquoi elle était si contrariée maintenant.
"Solin Catranides est un enfant unique".
Arik rit au ridicule de cetet déclaration. En tant que Dream-Hunter, Solin avait des milliers de frères et sœurs. Au sens propre.
-Je t'assure, il ne l'est pas.
Elle fit signe à l'homme derrière elle.
-Dis-lui, Brian.
-J'ai appelé une amie qui le connaît. Elle m'a assuré que Solin n'a jamais mentionné aucune famille d'aucune sorte.
Arik leur donna un sourire sardonique.
-Je suis sûr qu'il ne mentionnerait pas notre famille à une femme ce n'est pas une personne de son entreprise. Mettez-moi en correspondance avec lui.
Geary le regarda en entendant le ton de commandement qu'il venait d'utiliser. Elle savait une chose sur Brian, il n'appréciait pas plus ce ton qu'elle-même.
Les yeux de Brian clignaient avec mépris.
"J'ai déjà fait mes recherches.
-Et ils sont faix.
Brian lui jeta le téléphone.
-Faites vos propres appels, l'ami.
-Je ne sais pas le numéro.
-Alors t'es foutus.
-Brian," dit Geary d'un ton doux, en essayant de désamorcer la situation. Elle prit le téléphone à Arik et le rendit à Brian. "Tu peux faire le numéro de Solin pour moi ? Je veux lui parler moi-même.
Il fit une moue de dédain vers Arik.
-C'est son frère. Ne devrait-il pas connaître le numéro ?
-Brian, s'il te plait. Il pourrait appeler un numéro quelque part en Grèce et la personne qui répondra pourrait être quelqu'un prétendant être Solin. Je veux être sûre que je parlerais à la bonne personne".
Ses traits s'adoucir quand il vit la sagesse de sa requête.
"Très bien." Il prit le téléphone et lui composa. Après quelques minutes, il sortit un stylo et du papier de sa poche pour noter le numéro. Il raccrocha et le lui tendit.
"Tu es sûr que c'est le bon ?
-C'est le seul Solin Catranides que je connaisse. Que ce soit ou non son frère ça reste à voir.
-Ok."
Elle composa le numéro et attendit alors qu'Arik adoptait un regard suffisant envers eux deux.
Après la sixième sonnerie, un homme avec une voix profonde britannique répondit en grec.
Geary garda ses yeux sur Arik qui regardait son dos avec une expression vide sur son beau visage.
"Êtes-vous Solin Catranides ?
-Non. Kyrios Catranides n'est pas disponible pour le moment. Si vous souhaitez laisser votre nom et un numéro, je vais ajouter votre message aux autres.
Il avait pu dire une chose pareille d'un ton arrogant ? Vraiment, l'homme devait faire des études préalables à l'école des majordomes.
"C'est un peu une urgence...
-C'est toujours ce qu'ils disent, thespeneice. Sans vouloir offenser. Le maître n'a pas envie d'être déranger cet après-midi par personne.
Elle plissa les yeux sur Arik, s'attendant à ce qu'il se plante et lui montre qu'il était un menteur ou pas.
-Pas même pour son frère ?
-Je vous demande pardon ?
Le ton arrogant n'était maintenant plus là, remplacé par l'incrédulité.
-J'ai un homme debout en face de moi qui prétend être son frère.
Maintenant, son ton était complètement plat.
-Le maître n'a pas de frère, thespeneice*.
Avant qu'elle ne puisse répondre, Arik lui prit le téléphone de la main et lui parla dans une langue qu'elle ne connaissait pas. Il lui semblait qu'elle était basée sur du grec, mais c'était tout autre chose.
Arik adopta un air suffisant à Brian, puis à Megeara. Il était fatigué de sa méfiance, non pas qu'il ne la méritait pas. C'était simplement pour lui une cause d'exaspération, une émotion intéressante. Il n'aimait pas ça. Elle était trop... exaspérante.
"Il va prendre l'appel maintenant.
Deux secondes plus tard, Solin répondit d'un ton irrité.
-Est-ce que c'est une farce ?" demanda t'il dans une langue que seuls les dieux connaissaient.
Arik lui répondit de la même manière.
-Non, Solin, ce n'en est pas une. J'ai besoin de ton aide.
-Si tu es ce que tu prétends, et puisque tu parles ma langue maternelle, je ne doute pas que tu es un parent, tu n'as pas besoin de mon aide.
-Si. Je suis coincé sur le plan humain pendant deux semaines sans mes pouvoirs et j'ai besoin de ton aide jusqu'à ce que je puisse rentrer à la maison.
-Je...
-Ne t'avises pas de me le refuser," dit-il en serrant les dents. "A cause de toi j'ai tourné Skoti. Tu ne parviens pas à m'aider maintenant et je peux te promettre que tu ne pourras jamais dormir à nouveau en paix. Je vais passer le reste de l'éternité synchronisé seulement sur toi. Chaque fois que tu fermeras les yeux, je serai là... à te battre à mort.
-Et bien, c'est une menace que tu me fais.
-Pas des menaces. Seulement des promesses.
Solin fit une pause avant de reprendre la parole.
-Pour mémoire, je ne prends pas ces promesses à la légère.
-Et je ne les donne pas à la légère. Si tu doutes de moi ou de mes compétences, demande à M'Ordant que je suis et ce que je capable de faire. J'ai changé depuis l'idiot d'Oneroi que tu as trahis. Je veux ton aide, Solin. Je sais qu'aider quelqu'un va à l'encontre de tes principes, mais prends sur toi et aides moi.
Il y eu quelques secondes de silence, comme si Solin réfléchissait.
-Si tu es ici, je suppose que tu as le soutien d'un dieu. Lequel Est-ce ?
Il n'avait pas besoin de lui cacher. S'il voulait vraiment le savoir, ile ne faudrait pas longtemps pour le savoir.
-Hadès.
Solin renifla.
-Tu as négocié avec Hadès ? Es tu fou ?
-J'étais vraiment sain d'esprit lorsque j'étais Oneroi. Puis quelqu'un a changé ça. Ce que je suis maintenant est une énigme, même pour moi.
Un plus grand silence le salua.
-Très bien," dit enfin Solin. "Je ne fais de ça une habitude, mais tu m'as rendu curieux. Qu'est-ce que tu as besoin de ma part ?
-Je dois avoir un permis pour une archéologue américaine afin de fouiller Atlantis.
Solin éclata de rire.
-Je sais que tu es fou maintenant. Ont-ils vraiment trouvé le site ?
-Est ce que ça importe ?
-Sur ce plan d'existence, oui. Tu commences par fouiner là et tu emmerdes des gens qu'ils fallait mieux laisser seuls.
-Puisque ses jours d'humaine sont comptés, je ne pense pas que ce soit un problème. Qu'elle est un peu de frisson avant de mourir. Quel est le mal ?
Solin souffla fortement entre ses dents.
-Non, tu ne l'as pas fait.
-Fait quoi ?" Demanda Arik.
"Promis un échange d'âme avec Hadès. Tu as du cran, je te l'accorde.
Il ne savait pas si impressionner son frère était une bonne chose ou non, mais au moins Solin semblait un peu plsu agréable.
-Mis à part les permis, quoi d'autre ?
-C'est tout. Elle veut rencontrer le fonctionnaire qui le leur accordera pour s'assurer qu'ils ne sont pas faux.
-De combien de temps vous avez besoin ?
-Combien de temps tu peux avoir ?
Une autre pause brève.
-Donne-moi une heure pour m'arranger. J'ai quelques amis du gouvernement qui me doivent des services. Je viens juste de décider qui je veux intimider ou faire du chantage.
Arik regarda Megeara et lui parla en anglais.
-Il a besoin d'une heure pour régler les permis. Vous pourrez le rencontrer ?
Sa mâchoire se décrocha avant qu'elle ne hoche la tête.
-Elle peut être là," dit-il à Solin.
-Bien. Je te récupérerais.
-Pourquoi ?
-Parce que je dois rencontrer en face à face le dieu qui est si arrogant et stupide.
Arik n'était pas certain de savoir s'il devait être flatté ou insulté. Il devait être un peu des deux.
-Alors je vais vous passer le bon docteur pour que tu lui donnes tes instructions."
Il tendit le téléphone à Megeara qui était encore bouche bée.
Geary ne pouvait pas croire ce qu'elle entendait. Etait-ce vraiment si simple ? Rien de plsu qu'un appel téléphonique pouvait lui faire gagner ses papiers insaisissables dont elle avait besoin ?
"Bonjour ? Kyrios Catranides ?
-Oui, et vous êtes ?
-Dr. Geary Kafieri.
-Ravi de vous parler, docteur. Comme l'a dit mon frère, j'aurais besoin d'informations sur l'endroit où venir vous chercher tout les deux afin que nous puissions vous procurer vos permis."
Geary était encore un peu réservé. Ce n'était pas dans sa nature de faire confiance aux gens et surtout pas après toutes ces années, elle avait essayé d'accomplir ce qu'à eux deux ils semblaient être en mesure de faire en une heure.
"Je pensais que vous étiez enfant unique.
Solin n'hésita pas à donner une réponse.
-Oui et non. J'ai un certain nombre de demi-frères. L'un d'eux se trouve être Arikos. Maintenant, seriez-vous assez aimable pour me donner votre adresse.
Elle le fit même si elle s'attendait encore à ce que ce soit une blague.
-Très bien," dit Solin une fois qu'elle eu fini de lui donner son adresse et l'itinéraire pour le port de plaisance. "Je vous verrais tout les deux dans une heure environ.
-Je vous remercie.
Il avait raccroché.
Geary mit fin à l'appel, puis remis le téléphone à Brian.
"Il va nous obtenir les permis. Tu penses qu'il peut vraiment faire ça ?
Brian haussa les épaules.
-Si quelqu'un peut, c'est lui. Solin se déplace dans des cercles plus élevés. Même ceux dans lesquels je ne peux pas aller... qui peut savoir combien d'argent il a.
Elle se tourna vers Arik dont le visage était complètement stoïque.
-Et il est votre frère ?
-Oui.
Elle fronça les sourcils.
-Alors veuillez me dire pourquoi le frère d'un tel homme flottait dans la mer ?
-C'était de la malchance, je t'assures.
Brian se racla la gorge.
-Eh bien, si vous obtenez ces permis, je vais reconsidérer mon soutien.
Cela signifiait beaucoup pour elle. Sans son soutien financier, ils n'auraient pas d'autres choix que de plier bagages et de rentrer à la maison.
-Merci, Brian.
Il inclina la tête avant de les laisser seuls.
Arik lui offrit un sourire séduisant.
-Es-tu heureuse maintenant ?
-Je ne sais pas si heureuse est le mot juste. Je suis toujours suspicieuse envers vous et vos motivations.
Il claqua la langue.
-Après tout cela comment pouvez-vous continuer à vous méfier de moi ?
Était-il sérieux ?
-Pouvez vous m'en blâmer ? Je ne vous connais pas et vous faites ce geste généreux pour aucune raison. pourquoi seriez-vous prêt à m'aider ?
-Parce que je te trouve fascinante. Tu étais tellement passionnée à l'école primaire, et maintenant tu es dans une quête impossible, tout comme je le suis. Je ne peux qu'admirer. Sans oublier ce petit fait que vous m'avez sauvé la vie. T'aider pour les permis est le moins que je puisse faire."
Il y avait quelque chose dans ses yeux quand il parlait qui brillait et rayonnait. Elle se sentait comme un serpent avec son maître charmeur qui avec un leurre le faisait aller de son panier à l'autoroute pour qu'il soit écrasé par un semi-remorque.
"Qu'est ce que vous voulez de moi ? Vraiment ?" Demanda t'elle.
"Juste un simple sourire. Rien de plus.
-Je trouve difficile de croire que quelque chose de si petit pourrait vous satisfaire.
Son sourire devint méchamment brûlant.
-Il pourrait au moins me faire tenir un peu le coup."
Geary ne savait pas quoi faire de lui. D'une part, il l'aidait d'une manière que personne d'autre ne le pouvait. Il ne lui devait rien du tout et pourtant...
"D'accord, Arik. Je suis désolé d'avoir été un peu irritable envers vous. Je ne fais pas confiance aux gens en règle générale, en particulier ceux que je ne connais pas.
-Je comprends et nous nous sommes rencontrés dans des circonstances extrêmement bizarres.
Un petit sourire s'étala sur son visage alors qu'elle se rappelait son transport à bord.
-Vrai.
Ses traits adoucis lui donnait l'aspect le plus séduisant qu'elle ait jamais vu sur un homme.
-Pouvons-nous reprendre à zéro ? "Il tendit la main vers elle. "Je suis Arik Catranides.
Elle lui serra la main.
-Geary Kafieri et je veux toujours savoir comment vous vous êtes retrouvez dans la mer.
Il leva la main vers ses lèvres pour pouvoir déposer un léger baiser sur ses doigts.
-Et je te promets qu'un jour, tu auras la réponse à cette question."
Elle ne savait pas pourquoi, mais les poils de sa nuque se levèrent en un étrange frisson qui descendit le long de sa colonne vertébrale. Il fut suivit par le souvenir de ses rêves où Arikos l'avait baigné dans de la crème fouettée au chocolat qu'il avait ensuite léché lentement et facilement sur son corps. Mais ce n'était pas cet homme qui l'avait séduit.
L'était-ce ? Serait-ce d'une certaine manière son subconscient qui l'avait gardé en mémoire toutes ces années et seulement maintenant alors qu'elle avait besoin de lui elle s'en souvenait ?
Ça ne semblait pas possible. Mais comment pouvait-elle expliquer sa présence ici sur le bateau et le fait qu'il avait été dans ses rêves ces dernières semaines. Elle devait se le rappeler.
Et maintenant qu'elle était plus détendue, il y avait quelque chose de très calme et paisible qui émanait de lui. Quelque chose qui l'apaisait.
Sauf pour ses yeux. Qui l'effrayaient. Ils semblaient en quelque sorte omniscients et puissants. Explorant et mortels.
"Alors, où vivez-vous exactement ?
Il ne répondit pas. Au lieu de cela, il se mit derrière elle et enroula ses bras autour d'elle. C'était ce que son amant de rêve avait fait un millier de fois.
Elle se raidit dans son étreinte.
-Qui êtes-vous Arik ? Pourquoi êtes-vous vraiment là ?
Il frotta sa joue contre la sienne si bien que sa barbe lui provoqua des frissons.
-Tu veux Atlantis, oui ?
Il l'avait presque ronronné à son oreille alors que le désir brûlait à travers elle.
-Oui.
-Alors qu'est ce qui importe d'autre ?
La chaleur dans son corps était une chose. Elle ne ressemblait à aucune autre qu'elle ait jamais connu auparavant. Toute sa vie, elle avait été forcée de prouver sa valeur aux autres. Et puisque la réputation de son père avait tant attaqué la sienne, elle avait dû se mettre en quatre pour ne pas laisser le fait qu'elle était une femme fasse que les chercheurs les plus élitistes la méprise. Elle avait concentré toute sa vie à être une scientifique sérieuse au détriment de tout le reste.
Mais avec Arik, c'était différent. Il la traitait comme une femme et n'était pas repoussé par ses piques de protection. Il la regardait comme quelqu'un de désirable. Cette seule nouveauté était émoustillante.
Elle voulait fermer les yeux et se pencher en arrière contre lui. Atteindre et poser sa paume contre ses favoris pour sentir bouger les muscles de sa mâchoire. C'était ce qu'elle ferait dans ses rêves.
Mais c'était la réalité et le Dr Gery Kafieri n'avait pas le temps pour un tel jeu. Mais si tout ce qu'elle voulait faire était de rester là où elle était, elle se dégagea.
"J'ai besoin de travailler."
Arik serra les dents de frustration. Mais c'était le pouvoir en elle qui l'avait attiré vers elle en premier lieu. Je veux que tu restes...
La pensée avait peine traversé son esprit qu'elle se tourna vers lui avec un regard vicieux :
"Et je vous ai dit que j'avais des choses à faire.
Il fronça les sourcils face à la colère de son ton.
-Excuses-moi ?
-Vous avez dit que vous vouliez que je reste et je ne peux pas le faire.
Il pencha la tête.
-Non, je ne l'ai pas dit." Il l'avait seulement pensé.
"Je vous ai entendu de manière clair et net.
-Mais je ne parlais pas.
Comment aurait elle pu l'entendre alors qu'il n'avait pas se pouvoirs ?
Elle reprit son air renfrogné.
-Qu'êtes-vous ?
Il lui prit la main et la mit sur sa poitrine pour qu'elle puisse sentir son cœur battre de manière très humaine.
-Je suis de chair et de sang. Tout comme vous."
Geary ne savait pas quoi penser. Elle pouvait le sentir. Elle avait besoin de s'éloigner de lui jusqu'à ce qu'elle puisse tirer les choses au clair?
Sans même un au revoir, elle le quitta et se dirigea vers le pont pour prendre une bouffée d'air frais et effacer ses pensées.
[...]
Note de traduction :
*thespeneice : j'ai volontairement omis de traduire de mot, car aucun pays, peut importe la langue, ne l'a fait. Il s'agit probablement d'une langue propre à l'univers créé par Sherrilyn Kenyon. Dès confirmation ou traduction. Je l'annoncerais.
Texte original © Sherrilyn Kenyon - 2007
Traduction © Dark-Hunter Francophone