Dark-Hunter #1 - Julian of Macedon (texte originel du livre 1)
Genre : Romance paranormale / fantastique
Titre original : Julian of Macedon
Éditeur original : Nemesis Press (Auto-edition)
Date de sortie - États-Unis : 20 mars 2020 (Hardcover)
Nombre de pages - États-Unis : 412
Formats disponibles (US) : Grand format
PERSONNAGES PRINCIPAUX Julian et Grace |
Ce livre est la réécriture du livre Fantasy Lover (L'Homme Maudit en français). Fidèle au manuscrit d'origine, et sans les coupes exigées par l'éditeur américain à l'époque.
Lieu : Nouvelle Orléans
Maudit pour une éternité d'esclavage par son propre frère, Julian de Macédoine a passé des siècles infernaux, où le seul répit qu'il connaît ne se compte qu'en quelques semaines chaque fois qu'il est invoqué à travers un sort obscur. Avec l'âge moderne, ces convocations sont de moins en moins nombreuses, et il vit dans la peur du jour où elles s'arrêteront pour de bon.
Grace Alexander ne croit pas en grand-chose. Mais quand son amie d'enfance, une "psychique", la convainc de réaliser le sort sous prétexte d'une blague pour son anniversaire, la dernière chose qu’elle n'ait jamais imaginée, c’est que ça marche.
Mais ça marche.
Maintenant, elle se retrouve avec un ancien général grec dans son salon, prit au piège dans sa vie pour tout le mois à venir. Pire, ils apprennent trop tard qu'une partie du sort implique que Grace perdra l'esprit lorsqu'il sera de nouveau captif.
À présent, c'est une course contre la montre pour le libérer. Quelque chose de beaucoup plus facile à dire qu'à faire, car ce sont les anciens dieux qui l'ont maudit. Et la dernière chose qu'ils veulent, c'est de le voir se libérer de la punition que selon eux il mérite.
C'est un homme contre les dieux, et une course contre le temps.
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Dark-Hunter #1 - Julian of Macedon
NOS AVIS SUR "JULIAN OF MACEDON"
Celui d'Aliénora (lecture en anglais) : Je ne regrette pas que Sherrilyn Kenyon ait pu rééditer l'histoire de Julian telle qu'elle l'avait imaginée et écrite au départ. A l'époque il lui avait fallu suivre les directives de son éditeur et transformer le texte pour qu’il soit plus conforme à ce qui marchait à ce moment-là. Le thème du fantastique ne se faisait pas trop non plus, mais la romance si, alors le livre avait été adapté pour coller avec ce qui pouvait être édité. Au début, aucune différence notable, puis au bout de quelques chapitres, on commence à noter quelques phrases ici et là, des petits détails qui n'étaient pas dans la première version mais qui mine de rien, ont leur importance, si petite soit-elle. Par exemple, on y mentionne le général Valerius (grand-père du Dark-Hunter du même nom, et ennemi de Julian et Kyrian), quelques anecdotes supplémentaires sur Kyrian soulignent davantage leur amitié. Dans une version comme dans l'autre, la situation de Julian n'est ni drôle ni romantique, il subit une double malédiction (celle de Priape et celle de sa mère Aphrodite), et à tout fait au cours des premiers siècles pour échapper à sa prison, essayant de se tuer à plusieurs reprises, jusqu'à y renoncer. Il est peut-être le fantasme des femmes qui l'ont invoqué mais il est avant tout un esclave qui n'a pas d'autres choix que celui d’obéir et qui se retrouve dans une époque et un monde qui lui sont totalement étranger. Il s'interdit toute lueur d'espoir, trop amer et en colère contre les dieux qui l'ont abandonné. De son côté, Grace a elle aussi un passé tourmenté, fait d’humiliations, de deuils et disons-le, de viol – même si ce n'est pas le terme utilisé, la limite est ténue. L'un et l'autre vont se sauver mutuellement. Et leur romance douce et sincère permet d'écrire une histoire qui sans leur rapprochement, serait franchement très glauque. Pour finir, je terminerais en rappelant que la première version (Dark-Hunter #1 - L'homme maudit), est bien traduit en français, à l'exception de quelques prénoms (Julian/Julien ; Iason/Jason ; Vanessa/Vénus) et les insultes qui de "bastard" et autres mots fleuris passe systématiquement à "saligots". Un ton plus léger et pas vraiment insultant, comme pour rester "politiquement correct". Si un éditeur – ou son éditeur actuel - décide de relever le défi de retraduire correctement toute la série, dont la traduction française a sérieusement écorné l'univers et sa complexité, surtout, il faut prendre en compte ce roman, et non sa "première version". |
Texte original © Sherrilyn Kenyon
Traduction © Dark-Hunter Francophone
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