Note de traduction : Si j'ai choisis de traduire ce passage, c'est parce qu'il est à l'origine fait pour présenter le Dayslayer, un certain type de personnage créé par Sherrilyn Kenyon. Or, comme tous les termes créés par l'auteur, ce mot à littéralement disparu des livres, remplacé par "la Mort", ce qui n'a rien à voir avec le personnage. Tout le dialogue a disparu, remplacé par une synthèse erronée, uniquement en narration. Le texte en français est totalement insignifiant, presque inutile, et donne l'impression d'être mal écrit. En plus de cela, Daimons et Apollites sont confondus, alors qu'ils sont différents. En français, Thanatos arrive dans une maison remplie de Daimons qu'il a recruté, en vérité ce sont des Apollites qui ne le connaissent même pas.

Il parle aussi des Apollites et de leurs croyances, et des guerriers Spathis, eux aussi disparus du texte.
Pour le retrouver dans votre livre en français : Chapitre 7 - page 120


Chapitre 7

 

   Thanatos était furieux de l'ordre donné par Artémis.
   "Me retirer, mon cul." Il n'avait pas l'intention de se retirer. Pendant neuf cent ans il avait attendu cette directive.
   Attendant d'égaliser le score avec Zarek de Moesia.
   Il aurait Zarek ou mourrait en essyant.
   Thanatos sourit à cette idée. Artémis n'avait pas autant de pouvoir qu'elle le pensait. En fin de compte, ce serait sa volonté qui gagnerait aujourd'hui
   Pas la sienne.
   Elle n'était rien pour lui. Rien qu'un moyen d'arriver à une fin qu'il était déterminé à réclamer.
   Il aurait enfin sa vengeance.
   Thanatos frappa à la porte de la cabane isolée. De l'autre côté de la porte, il pouvait entendre des voix basses, paniquées - les Apollites se précipitant pour cacher leurs femmes et leurs enfants.
   Les Apollites qui vivaient ici craignaient de savoir qui venaient les chercher.
   "Je suis la lumière de la lyre," dit Thanatos, des mots que seuls connaissaient un Apollite ou un Daimon. Des mots qui étaient utilisés chaque fois que l'un d'eux voulaient mettre l'un ou l'une des leurs à l'abri. Cette phrase était une référence à leur parenté avec Apollon, le dieu du soleil, qui les avait maudit et abandonné.
   "Comment se fait-il que tu marches à la lumière du jour ?" C'était la voix d'une femme. Remplie de peur.
   "Je suis le Dayslayer. Ouvre la porte.
   -Comment savoir que c'est la vérité ?" Cette fois, c'était un homme qui avait parlé.
   Thanatos grogna bas dans sa gorge.
   Pourquoi voulait il aider ces gens ?
   Ils étaient sans valeur.
   Mais alors il se rappela. Une fois, il y a longtemps, il avait été l'un d'entre eux. Lui aussi avaient été caché, par peur des Ecuyers et des Dark-Hunters. Peur des misérables humains qui venaient pour eux à la lumière du jour...
   Comme il les détestait.
   "Je vais ouvrir la porte, "les avertit Thanatos. "La seule raison pour laquelle je frappais était pour que vous puissiez la déverrouiller, puis vous éloigner de la lumière du jour avant que je n'entre. Maintenant soit vous la déverrouillé soit je la défonce d'un coup de pied.
   Il entendit la serrure cliqueter.
   Prenant une profonde et apaisante respiration, il poussa lentement la porte pour l'ouvrir.
   Dès qu'il entra et referma la porte, une pelle manqua de le frapper à la tête.
   Thanatos la saisit et la tira rudement, tirant une femme hors de l'ombre.
   "Je ne vous laisserais pas blesser mes enfants !
   Il lui prit la pelle et lui lança un regard irrité.
   -Croyez-moi, si je voulais leur faire du mal, vous ne pourriez pas m'arrêter. Personne ne le peut. Mais je ne suis pas là pour ça. Je suis ici pour tuer le Dark-Hunter qui chasse vos parents.
   Les traits de son beau visage s'adoucirent alors qu'elle le regardait comme s'il était un ange.
   -Alors vous êtes vraiment le Dayslayer." La voix était masculine.
   Thanatos tourna la tête pour voir un mâle Daimon sortir des ombres. Le Daimon ne paraissait pas avoir plus de vingt et un ans. Comme toute sa race, le Daimon était un modèle de perfection physique. Beau dans sa jeunesse et physiquement bien portant, ses longs cheveux blonds tressés dans son dos. Sa joue droite était marquée par trois larmes rouge sang qu'il avait fait tatouer.
   Thanatos reconnu sa race instantanément.
   Le Daimon était l'un des rares guerriers Spathis que Thanatos était venu chercher.
   "Ce sont des larmes pour tes enfants ?
   Le Daimon fit un bref signe de tête.
   -Chacun d'eux fut tué par un Dark-Hunter. Et j'ai à mon tour tué le Chasseur.
   Thanatos eut mal pour cet homme. Les Apollites n'avaient pas de véritables choix et pourtant ils étaient punis parce qu'ils osaient choisir la vie plutôt que la mort. Il se demandait ce que les humains et les Dark-Hunters feraient si on leur avait dit qu'ils avaient deux choix : mourir péniblement en pleine jeunesse, ou prendre les âmes humaines et vivre.
   Comme tout simple Apollite, Thanatos avait été préparé à mourir.
   Tout comme sa femme...
   Zarek lui avait pris cette option loin de sa famille.
   Fou, le Dark-Hunter avait traversé son village, y tuant tout le monde. Les hommes avaient à peine été capable de cacher les femmes et les enfants avant que Zarek ne les anéantissent.
   Aucun de ceux qui s'étaient trouvé sur le chemin de Zarek n'était resté en vie.
   Personne.
   Zarel avait tué les Apollites et les Daimons indistinctement. Et pour ce crime sa seule punition avait été le bannissement.
   Le bannissement !
   La rage l'envahie. Comment penser que Zarek avait continué de vivre dans le confort tous ces siècles alors que le souvenir de cette nuit suppurait éternellement dans le cœur de Thanatos.
   Mais il se força à mettre cette haine de côté. Ce n'était pas le moment de laisser sa colère dicter ses règles. C'était le moment pour être aussi froid et calculateur que son ennemi.
   "Quel âge as-tu, Daimon ?" Demanda Thanatos au Spathi.
   -Quatre-vingt quatorze.
   Thanatos haussa un sourcil.
   -Tu as fait ce qu'il fallait.
   -Oui, je l'ai fait. J'en ai eu assez de me cacher.
   Il connaissait ce sentiment. Il n'y avait rien de pire que d'être forcé de vivre dans l'obscurité. Vivre une vie confinée.
   L'homme sourit.
   -Nous pensions que vous étiez un mythe.
   -Tous les bons mythes ont un fond de réalité et de vérité. Ta mère ne t'a pas enseigné ça ?
   Les yeux du Spathi s'assombrirent, hantés par un souvenir.
   -Je n'avais que trois ans quand elle a eu ses vingt sept ans. Elle n'a pas eu le temps de m'enseigner quoi que ce soit.
   Thanatos mit une main réconfortante sur l'épaule de l'homme.
   -Nous allons reprendre cette planète, mon frère. Sois en assuré, notre jour est une fois de plus venu. Je vais appeler les autres Spathis et nous allons unir nos armées. Les humains n'auront personne qui pourra les protéger maintenant.
   -Mais les Dark-Hunters ?" Demanda la femme.
   Thanatos sourit.
   -Ils sont liés à la nuit. Pas moi. Je peux les traquer quand je le veux." Il rit. "Je suis à immunisé contre les blessures qu'ils m'infligent. Je suis mort aux yeux de tous et maintenant je suis de nouveau à la maison avec mon peuple. Ensemble nous allons gouverner cette terre et tous ceux qui l'habitent."
[...]

 

 


Texte original © Sherrilyn Kenyon
Traduction © Dark-Hunter Francophone 

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